mardi 31 janvier 2012

Je veux

Que ce soit l'été, que les oiseaux batifolent, que le soleil revienne, que le froid dégage et que je puisse me prélacer au soleil, à la terrasse d'un café, en sirotant un grand thé glacé, mes lunettes de soleil sur le nez.

Je sais, je rêve, il a neigé en Provence aujourd'hui, alors c'est pas demain la veille que l'été va débarquer. A défaut, je bronze sur ma moquette, mes lunettes de soleil sur la tête !

Et surtout, je rêve à ce maillot de bain Roseanna que je trouve juste parfait ! (Comme tous les maillots de bain Roseanna d'ailleurs...)


 Stiny Stams de Roseanna je te veux !

Pas contente !

Alors voilà, cet été, j'avais craqué. Pas pour un deuxième dessert, non, ni pour un énième maillot de bain ! Pour un jean magnifique qui me faisait de l'oeil depuis des mois !

Le Agnes de J Brand dans le coloris vin navy. Vu le prix de la bête, j'ai préféré l'acheté en soldes. Quelle bonne idée j'ai eu ! Parce qu'hier j'ai découvert un truc qui m'a pas du tout fait plaisir ! Mon pantalon adoré a un trou ! Mais pas n'importe ou, à l'entrejambe ! Et il est bien déchiré en plus...
J'étais déjà un peu déçue par la qualité de ces jeans (j'ai beau l'avoir pris en ma taille, dès que le porte plus d'une heure, il devient 15 fois trop grand pour moi ! Et un pantalon skinny trop grand, je vous assure que c'est pas glamour DU TOUT !), mais alors en plus s'il se trou aussi rapidement (gros en plus le trou) !

Alors quoi, à plus de 300 euros la bête ça ne dure pas plus de 6 mois ? Moi qui porte encore des jeans que j'avais acheté en classe de seconde (et qui ne m'avaient pas coûté ce prix là) ? C'est censé être quoi, un jean éphémère ?

Bref, leurs modèles ont beau être canons, je ne me ferais pas avoir une seconde fois !


En même temps, ce gris délavé un peu foncé allait tellement bien avec mes blouses rose poudré ! Je suis un peu triste quand même. J'ai peu de vêtements et j'accorde une valeur sentimentale à chacun d'entre eux. (Maintenant je vais passer pour une fétichiste des vêtements...)

dimanche 29 janvier 2012

Tatouages

Le mot vient du tahitien tatau, qui signifie marquerdessiner ou frapper et dérive de l'expression « Ta-atouas ». La racine du mot, ta signifie « dessin » et atua signifie « esprit, dieu ». Le docteur Berchon, traducteur du deuxième voyage de Cook vers Tahiti en 1772, employa pour la première fois le mot tatoo ; le mot sera francisé en « tatouage» à la fin des années 1700.

Le tatouage est pratiqué depuis plusieurs milliers d'années dans de nombreuses régions du monde pour des raisons symboliques, religieuses, thérapeutiques mais aussi esthétiques. Dans plusieurs civilisations, il est même considéré comme un rite de passage à cause de la douleur endurée lors de la réalisation du motif.

Depuis toute petite, j'ai toujours adoré les tatouages. Mais je n'ai toujours pas franchi le cap : trop peur de la douleur, des infections ou tout bêtement d'être jugée...





Chanel a fait des tatouages temporaires l'année dernière ou il y a deux ans (je ne sais plus trop), c'est une bonne idée pour une soirée occasionnellement, mais le propre d'un tatouage n'est-il pas de représenter quelque chose de personnel ? D'intime ? De s'approprier son propre corps ? Alors dévouer son corps à Chanel ? Drôle d'idée ! Mais le rendu est vraiment joli, je dois bien l'admettre !


J'ai acheté...


Le livre LES PARFUMS d'Elisabeth de Feydeau.
Moi qui me passionne pour l'histoire ainsi que pour les parfums, je suis conquise !

Maintenant, j'ai envie d'essayer ses bougies parfumées "Versailles en parfums"... Notamment la Fleur d'orange du Roy. Je sens que je vais encore casser ma tirelire moi...

samedi 21 janvier 2012

Bougies parfumées hivernales

Quand il fait froid, il y a deux catégories de personnes : les heureux propriétaires de cheminés (chanceux) et les autres.

Mais pour ceux qui, comme moi, n'ont pas de cheminé, les bougies parfumées existent ! Je sais, je sais, ça ne remplacera jamais un bon feu de cheminée, mais au moins, une bougie parfumée, c'est facile à allumer :)

J'ai trois bougies parfumées préférées pour l'hiver, elles m'aident à lutter contre le froid, la grisaille, la pluie et plus généralement contre le spleen hivernal qui s'installe quand les jours commencent à raccourcir.

Quand j'ai envie de m'évader loin de Paris, j'allume "Jerusalem" d'Astier de Villatte (en plus, c'est un cadeau de mon amoureux, alors j'en suis folle).


Quand je meurs d'envie d'un vrai feu de cheminée, j'allume "Feu de bois" de Diptyque...


 Et enfin, à l'heure du thé (oui oui j'aime beaucoup cette pratique anglaise, ce qui m'a valu plusieurs fois le surnom de "mamie", mais je m'en fiche, j'assume), j'allume "thé et pain d'épices" de l'Artisan parfumeur. Dans la même veine, "Thé Bourbon" de Flamant est pas mal du tout non plus !

Bon cocooning !

vendredi 20 janvier 2012

Robe en cuir // Sainte Nitouche ?

Quand je vois une robe en cuir, je pense toujours à plusieurs choses : noir, dominatrice, sexy, voir même parfois vulgaire. J'en conclus "Pas pour moi".
Sauf qu'il y a quelque semaine, j'ai trouvé THE robe.


C'est une robe de la collection PAP spring/summer de Valentino.
Déjà, elle est rose poudrée (ma couleur préférée).
Ensuite, elle est en cuir. Et là, j'adore. Pourquoi ? Parce que les contradictions, décalages et aberrations modesques me fascinent. Je ne trouve rien de plus intrigant que de porter un parfum d'homme avec une robe très féminine, des escarpins très sexy avec un col claudine ou une robe en cuir de Sainte Nitouche.

Alors depuis que j'ai vu cette robe, je rêve de la porter avec une paire de spartiates, un grand panier et pourquoi pas un parfum un peu mystique, comme Serge Noir par exemple...

Je ne fais bien évidemment que rêver, mais l'espoir fait vivre :)



If You Love Me, You’ll Discover It

J'adore les Maiden's Blush. C'est une sorte de roses anciennes ravissante, également appelée "petite cuisse de nymphe".

Selon les anglais, elle a pour signification : "If you love me, you'll discover it"...

En parlant d'amour, dans la scène II de Roméo et Juliette de Shakespeare, Juliette emploie une ravissante expression d'ailleurs :


"You know that the night hides my face;
Otherwise, a maiden’s blush would paint my cheek
For what you overheard me say tonight."