Parisienne

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Jolie Madame

Leçon n°2 : Brûlons nos collants ! (ou pas)

Je ne sais pas vous, mais je ne comprends rien aux collants et ils me le rendent bien !

Déjà, abordons le problème des tailles... Si vous faites comme moi, un petit mètre 80 pour 50 kg, déjà vous n'avez pas le droit de faire partie du monde des porteuses de collants : pas de taille pour vous, dommage.

Que faire alors ?

Une taille en dessous : l'entrejambe m'arrive aux genoux. Je me suis déjà retrouvé dans des situations très embarrassantes : l'entrejambe du collant qui dépasse de ma jupe ou de ma robe courte :( J'avais une dégaine incroyable en tirant toutes les deux minutes sur mes collants. Heureusement que j'en prends sans démarcation (vous savez cet espèce de shorty plus foncé) parce que ça aurait été le bouquet ! (D'ailleurs je vois pleins de filles avec ce genre de problème dans la rue... Effet de mode ?)

Une taille au dessus : les collants plissent de partout et tombent en accordéon, on croirait une petite fille qui a emprunté les collants de sa maman. En plus, s'ils ne sont pas "gainants", je les perds et me retrouve malgré tout avec l'entrejambe aux genoux. Donc encore une fois, je passe ma journée à les remonter...

Le petit plus des collants ? Leur aspect hyper sexy : taille haute, qui scie le ventre et qui créé une démarque très disgracieuse sous un haut ou une robe moulante ! This is hot ;)

Autre gros dilemme qui nous touche toutes : quels collants choisir ? Résilles ? Des dentelles ? Des plumetis ? Unis ? Les unis semblent plus simples à choisir mais c'est faux : quel denier choisir ? Mates ou brillants ? La cata c'est quand ils sont chairs, ça devient aussi compliqué que de choisir une fond de teint : il faut la bonne teinte, qu'ils ne soient pas trop brillants ni trop mates (sinon ça fait bas de contention...)

Bref, mon conseil ? Brûlons les collants !

J'ai remplacé les collants par les bas, que ce soient les autocollants ou ceux qui se portent avec les portes jarretelles. Bon, évidemment, ça ne règle pas tous les problèmes, notamment en ce qui concerne les deniers, les tailles, etc. Mais cela règle le problème de taille et de confort : les tailles des bas dépendent surtout de la taille, donc je suis admise dans le monde des porteuses de bas. COOL ! Et pas de position compromettante du style : excusez moi, je remonte mes collants, hum ! Pas non plus de démarque au niveau du ventre, pas d'inconfort non plus... Et puis... Cerise sur le gateau, les bas, c'est réellement sexy (sans ironie cette fois) !

Le seul hic qu'on a avec les bas et pas avec les collants ? L'hiver, on a froid aux fesses (et oui !)

Alors, on brûle toutes nos collants et on opte pour les bas ?

La lingerie, c'est la vie ! Leçon n°1 : un soutien gorge à sa taille

Après un mois d'absence (aïe, je suis débordée en ce moment et ne parviens pas à m'organiser...), je veux parler d'un sujet qui me tient à cœur et dont j'ai déjà un peu parlé... La lingerie.

Je pense que la lingerie est fondamentale dans la vie d'une femme. D'abord, ça nous distingue des hommes (hormis leurs caleçons ou boxers, ils ne connaissent pas la lingerie), c'est important pour notre silhouette, ça maintien ce qu'il faut maintenir, nous protège de la gravité, mais également, ça nous permet de nous sentir belles !

Comme beaucoup d'articles, ce sujet, je l'avais en tête depuis un petit moment, mais c'est plusieurs évènements déclencheurs qui ont permis sa rédaction.

D'abord, une amie souhaitant acheter un corset pour son mariage. En ayant un Agent Provocateur, je lui avais recommandé d'y aller. Elle a voulu qu'on y aille ensemble. Le problème, c'est qu'elle n'assume pas sa petite poitrine. On se connait depuis nos 14 ans (11 ans... le temps passe tellement vite) et ça a d'abord commencé par les soutiens gorge très rembourrés. Aujourd'hui, à 25 ans, elle porte toujours des soutiens gorges rembourrés mais elles ne les prends en plus pas à sa taille. Elle a décidé de nier qu'elle faisait du 85A et refuse de porter autre chose que du 85B. Autant vous dire que sa silhouette n'est pas particulièrement avantagée. Bref, ce qui devait arriver arriva : elle demanda du 34B chez Agent Provocateur. Evidemment la vendeuse a tiqué, mais elle s'est exécutée. Le corset était bien trop grand, c'était comme si une petite fille avait voulu essayer la lingerie de sa maman. Mais pensez-vous que mon amie s'en soit rendue compte ? Et bien non. Elle trouvait qu'il lui allait à la perfection.

La vendeuse est moi lui avons proposé d'essayer la taille en dessous. Impossible. Le 34B, c'était sa taille. Mais elle voulait bien, à la limite essayer le 34C...

Une autre histoire maintenant, mais avec la problème inverse : une amie faisant du 90D. Elle adore sa poitrine et l'une de ses fixette est de la mettre en valeur ! Bonne nouvelle ! Sauf que pour cela, elle choisi systématiquement des soutiens gorges trop petits pour elle, parce qu'elle trouve que cela lui "remonte les seins". Et puis, elle refuse d'entendre parler de maintien, de bretelles épaisses et de pesanteur ! Elle veut de la dentelle, des bretelles baguettes, des soutiens gorge pour petits bonnets parce que "c'est plus mignon"... Encore une fois, sa silhouette n'est pas à son avantage...

Depuis quand les femmes ont-elles autant de problème avec leur taille de bonnet ? Ne me parlez pas de mesures, on sait toutes les prendre, les gentilles vendeuses de lingerie proposent toujours de nous les prendre ! Non je parle d'assumer sa taille, de vivre avec, de la magnifier. Je trouve que c'est un assumant sa taille de bonnet et en achetant les soutiens gorge allant avec que l'on aura la plus jolie poitrine, et donc la plus jolie silhouette. Demandez à vos hommes, ils seront certainement d'accord avec moi ;) 

Bon évidemment, je n'oblige personne à hurler sa taille de SG au monde entier ! Mais vivre en harmonie avec, c'est un bon début pour commencer à s'aimer et à se trouver sexy ;)

Les prochaines leçons lingerie ?? Allez, spoiler :

Leçon 1 : un soutien gorge à sa taille

Leçon 2 : brûlons nos collants (ou pas)

Leçon 3 : le body a tout compris

Leçon 4 : la lingerie a un prix

Leçon 5 : nos amis les hommes